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Notre exposition sur l'”Action de Mengíbar” du 13 juillet 1808 entre les troupes françaises et espagnoles, dispose d’une muséographie, d’une énorme maquette, d’une table tactile interactive et d’une “conversation numérique” amusante des généraux impliqués dans le conflit qui vous aidera à comprendre ce qui s’est passé ce mois de juillet.
Visitez notre musée et soyez le témoin direct d’une conversation militaire entre le général Reding et le général Dupont au sujet de la célèbre “Action de Mengíbar”.
…et ce qui semblait être un pacte entre un Napoléon voyou et l’Espagne, simplement pour laisser passer ses troupes au Portugal, est devenu une tentative de nous coloniser, et c’est alors que Mengíbar est devenu la clé de l’échec des troupes napoléoniennes !
Napoléon Bonaparte, l’empereur français, a conclu un pacte avec l’Espagne pour permettre à ses troupes de conquérir le Portugal.
Mais son but était aussi d’envahir l’Espagne ! Il obtient que Charles IV et son fils Ferdinand VII renoncent au trône, qui passera aux mains de son frère Joseph Bonaparte.
Un autre détachement français pille à nouveau Jaén, mais cette fois-ci, il est repoussé par les troupes espagnoles, qui décident alors de retourner à Bailén.
Au même moment, le général Castaños élabore le Plan de Porcuna.
Porcuna, par lequel la 1ère division du général Reding devait expulser les Français de Mengíbar.
Ils avancent jusqu’à Bailén, puis atteignent Andújar, où se trouve le gros de l’armée de Dupont.
Aux premières heures du 15 juillet, l’armée française décide d’attaquer les positions espagnoles de l’autre côté du Guadalquivir. Les soldats de Reding leur font face sans montrer leurs forces, si bien que le général français Vedel abandonne la traversée en bateau et se dirige vers Andújar.
Le général Reding, qui avait caché la majeure partie de son armée dans les environs de Mengíbar, a vu qu’il était bien supérieur au détachement français et a décidé d’exécuter le plan Porcuna, en planifiant l’attaque pour le jour suivant depuis la Casa Palacio.
En conséquence, le 2 mai 1808, un soulèvement populaire a lieu à Madrid, qui est violemment réprimé, ce qui marque le début de la guerre d’indépendance. Les troupes françaises, commandées par le général Dupont, entrent en Andalousie via Despeñaperros en direction de Cadix, rencontrant une forte résistance près de Cordoue.
Après avoir saccagé cette ville, ils se sont installés à Andújar, faisant quelques incursions dans d’autres villes comme Mengíbar et Jaén, afin de s’approvisionner.
Cette même nuit, aux premières heures du matin, la première avant-garde de l’armée espagnole, sous le commandement du brigadier Venegas,
est arrivé à Mengíbar et s’est lancé dans le combat sans laisser aux Français le temps de réagir.
Napoléon Bonaparte, l’empereur français, a conclu un pacte avec l’Espagne pour permettre à ses troupes de conquérir le Portugal.
Mais son but était aussi d’envahir l’Espagne ! Il obtient que Charles IV et son fils Ferdinand VII renoncent au trône, qui passera aux mains de son frère Joseph Bonaparte.
En conséquence, le 2 mai 1808, un soulèvement populaire a lieu à Madrid, qui est violemment réprimé, ce qui marque le début de la guerre d’indépendance. Les troupes françaises, commandées par le général Dupont, entrent en Andalousie via Despeñaperros en direction de Cadix, rencontrant une forte résistance près de Cordoue.
Après avoir saccagé cette ville, ils se sont installés à Andújar, faisant quelques incursions dans d’autres villes comme Mengíbar et Jaén, afin de s’approvisionner.
Un autre détachement français pille à nouveau Jaén, mais cette fois, il est repoussé par les troupes espagnoles, qui décident alors de retourner à Bailén.
Au même moment, le général Castaños élabore le plan Porcuna selon lequel la 1ère division du général Reding doit expulser les Français de Mengíbar.
Ils avancent jusqu’à Bailén, puis atteignent Andújar, où se trouve le gros de l’armée de Dupont.
Cette même nuit, au petit matin, la première avant-garde de l’armée espagnole, sous le commandement du brigadier Venegas, arrive à Mengíbar, se lançant dans le combat sans laisser aux Français le temps de réagir.
Aux premières heures du 15 juillet, l’armée française décide d’attaquer les positions espagnoles de l’autre côté du Guadalquivir. Les soldats de Reding leur font face sans montrer leurs forces, si bien que le général français Vedel abandonne la traversée en bateau et se dirige vers Andújar.
Le général Reding, qui avait caché la majeure partie de son armée dans les environs de Mengíbar, a vu qu’il était bien supérieur au détachement français et a décidé d’exécuter le plan Porcuna, en planifiant l’attaque pour le jour suivant depuis la Casa Palacio.
Aux premières heures du 16 juillet, le brigadier Venegas marcha jusqu’au gué du Rincón, à environ 3 km à l’est de Mengíbar, où un piquet de cavalerie française se présentait.
À l’aube, les troupes espagnoles ouvrent le feu sur les Français au passage des bateaux, tandis que le corps principal de l’armée espagnole, sous les ordres du général Reding, traverse le fleuve Guadal Guadalquivir.
Le général Reding traverse le fleuve Guadalquivir au gué de El Rincón.
Le général Reding dispose de près de 10 000 soldats et ils commencent à se former devant les Français, en attendant l’arrivée de l’artillerie qui doit passer le bateau Guadalquivir. L’artillerie française ouvre le feu, incendiant les cultures qui n’ont pas encore été fauchées, et produisant un mélange de feu, de fumée et de chaleur suffocante.
La cavalerie espagnole charge, mais elle est repoussée par les cuirassiers français qui la poursuivent dans les rangs de l’infanterie espagnole. L’Espagne, confrontée au danger de voir ses rangs brisés, doit ouvrir le feu sur les cavaliers nationaux et étrangers, tandis que l’infanterie française recule jusqu’à atteindre les environs du Cerro de la Harina, où une nouvelle charge des troupes espagnoles oblige le général Gobert à prendre la tête des cuirassiers et à lancer une nouvelle charge désespérée au cours de laquelle il est mortellement blessé.
Après la perte de Gobert, son adjoint prend le commandement des Français, stabilisant les positions à Las Heras de Bailén, sans qu’aucun des deux camps ne se décide à franchir le pas.
Une fois la bataille terminée en raison de l’épuisement physique des deux camps, le général Reding s’est retiré du champ de bataille à 14 heures de l’après-midi, retournant à Mengíbar. Selon les rapports officiels, le total des pertes de l’armée espagnole s’élève à 35 morts, 125 blessés, trois contusions et 25 disparus.
Les troupes espagnoles se sont reposées à Mengíbar. La bataille de Mengíbar a montré que, contrairement à ce que l’on pensait, les blindages français n’étaient pas impénétrables.
C’est pour cette raison que le général Reding a exposé les armures percées dans ce palais, faisant passer toute l’armée espagnole à travers pour prouver que les cuirassiers n’étaient pas invincibles, augmentant ainsi le moral des troupes espagnoles.
En reconnaissance de leurs efforts. Huit ans après ces événements
ces événements, le 18 avril 1816, le roi Ferdinand VII a décerné une croix de distinction à tous les combattants ayant pris part à la bataille de Mengíbar, ce qui a sans aucun doute largement contribué à changer le cours de notre histoire la plus récente.
Les première et deuxième divisions sous le commandement du général Reding arrivent à Bailén et le lendemain, 19 juillet, elles défont la toute puissante armée de Dupont, qui avait quitté Andújar.
Comme vous pouvez le constater, la bataille de Bailén n’aurait pas eu la même issue si la bataille de Mengíbar n’avait pas eu lieu trois jours plus tôt.
Les troupes espagnoles se sont reposées à Mengíbar. La bataille de Mengíbar a montré que, contrairement à ce que l’on pensait, les blindages français n’étaient pas impénétrables.
C’est pour cette raison que le général Reding a exposé les armures percées dans ce palais, faisant passer toute l’armée espagnole à travers pour prouver que les cuirassiers n’étaient pas invincibles, augmentant ainsi le moral des troupes espagnoles.
Les première et deuxième divisions sous le commandement du général Reding arrivent à Bailén et le lendemain, 19 juillet, elles défont la toute puissante armée de Dupont, qui avait quitté Andújar.
Comme vous pouvez le constater, la bataille de Bailén n’aurait pas eu la même issue si la bataille de Mengíbar n’avait pas eu lieu trois jours plus tôt.
In recognition of their efforts. Eight years after these events, on 18 April 1816, King Ferdinand VII awarded a cross of distinction to all the combatants who took part in the battle of Mengíbar, which undoubtedly contributed greatly to changing the course of our most recent history.
Vous avez ici une version rigoureuse de cette partie importante de l’histoire espagnole, et elle vous servira d’avant-goût de votre visite à Mengíbar.
Nous vous attendons !
Mengíbar 2022. Todos los derechos reservados © Nattule. Desarrollo web NattuAR
En 2025 ha sido íntegramente actualizada por el Gabinete de Comunicación del Ayuntamiento de Mengíbar.
Visita guiada
Duración: 1:30h aprox.
Público: Todas las edades
Precio: La visita es completamente gratuita
Visitaremos:
Casa Palacio: exposición de la Colección Iliturgi, con restos arqueológicos de la antigua ciudad romana.
Centro de Interpretación Iliturgi – La ciudad de los tres ríos: un recorrido por el pasado íbero y romano de Mengíbar.
Visita guiada
Duración: 1:30h aprox.
Público: Todas las edades
Precio: La visita es completamente gratuita
Visitaremos:
En el Punto de Información Cultural y Turístico “La Torre” conoceremos:
Sala de Oleicultura y Labranza: maquetas de Eulogio Calleja que muestran la evolución del aceite desde la Antigüedad hasta hoy.
Sala histórica: gran maqueta con soldaditos de plomo que recrea la Acción de Mengíbar en la Guerra de la Independencia.
La visita finaliza en la Casa Palacio, vinculada a este importante episodio histórico.
Visita guiada
Duración: 2:30h aprox.
Público: Todas las edades
Precio: La visita es completamente gratuita
Visitaremos:
Casa Palacio: los rincones más singulares y su historia.
Iglesia de San Pedro Apóstol: evolución artística de este templo.
Torre del Homenaje: espectaculares vistas desde lo alto.
Centro de Interpretación Iliturgi – La ciudad de los tres ríos: últimas novedades de las investigaciones sobre yacimientos íberos y romanos.
